vendredi 21 novembre 2014

20 au 26 novembre 2014 - Jonathan Dickinson - 1re partie

Jeudi, 20 novembre 2014

Youpi! Le soleil est de retour. Un peu frisquet, 70F, mais soleil quand même. S'cusez moi si je mêle les Celsius et les Fahrenheits, ça dépend si je consulte la télé ou le tableau de bord de Max. NB. Pour ceux qui ont de la difficulté de passer du C au F ou du F au C, voici une formule mathématique qui peut s'avérer utile (marge d'erreur de + ou - 2 degrés) : 2C + 32 = F ou (F-32)/2 = C.

Oh! Un passager clandestin




J'entre la nouvelle destination dans Germaine, qui nous calcule la route pour aller à Jonathan Dickinson. Le trajet devrait prendre 1h25. 

Un incontournable






Petit arrêt au Cracker Barrel pour dîner, celui de la sortie 101 sur la I-95. Tom prend un 'chicken fried chicken' (j'essaie encore de le comprendre) et moi le 'turkey breast', 2 root beers de 16 on, servies avec un bock glacé ... petit bonheur et bonus, le sourire de la serveuse. Le tout pour $20.01. Pas besoin de vous dire que la serveuse a eu un beau pourboire (mais je vous dis pas combien, au cas où Tom lirait le blog).

En attendant le repas...

Arrivée au Jonathan Dickinson à 15h45. On s'installe sur le site 117. Pour un site choisi sur Internet, on a fait un pas mal bon choix. On a le coin de rue, un voisin sur le côté et un en arrière. Le reste, des arbres. En parlant d'arbres, je ne sais pas si c'est le temps de l'année, ou le manque de volontaires, ou la façon de faire dans ce State Park, mais je trouve que la végétation fait pic pic. Beaucoup d'herbes hautes piétinées et de plantes sèches, des sites non nettoyés, disons que l'entretien général laisse à désirer. Mais les toilettes sont propres. Vieilles, mais propres.

Site 117, Jonathan Dickinson SP



Pas de souper, on a encore la bedaine pleine du dîner.

NDLR. J'ai eu des critiques de mon prof à l'effet que l'écriture ainsi que les images étaient trop petites. Il m'a gentiment rappelé qu'il ne rajeunissait pas et qu'il apprécierait pouvoir suivre mes aventures sans mettre ses lunettes de lecture. J'avoue avoir été tentée de mettre les caractères à 20, mais je me suis gardé une petite gêne. Après tout, si je veux qu'il continue à me coacher, faut que je ménage son égo. Je t'aime Pierrôt.


Vendredi, 21 novembre 2014.


Journée par bout: grise par bout, ensoleillée par bout, venteuse par bout, pluvieuse par bout. Mais nous ne laisserons pas ce temps incertain démolir notre moral. Que fait on lorsque le temps ne permet pas d'activité constructives extérieures? Un tour d'auto.
On passe d'abord au River Store, magasin général où on peut acheter, des sandwichs, des souvenirs, du bois et où on peut louer des embarcations pour naviguer sur la Loxahatchee River. Le Wi-fi y est disponible. Retenu pour notre prochaine rencontre Skype ou Facetime.

En roulant vers la sortie du parc, on bifurque vers le Pine Grove Campground, là où nous campions avec Manon et Alain il y a 4 ans. Les palmiers ont poussé, les conifères un peu moins. On y voit des VRs pour tous les goûts.


Site 84 surnommé site des Beauvais.



Un camion à vie d'ange?











Une maison très mobile.


Nous nous rendons au Wallemarte de Jupiter, qui se fait faire un extreme makeover. Dans les tons de bleu poudre et blanc, sa devanture fait ... ça fait ... mettons que ça fait plus sensibilisation au cancer de la prostate, que Wallemarte. Et si c'est le but, ben tant mieux, c'est atteint.

Wally Marty??


Arrêt au Winn Dixie où Madame déniche les 4 dernières bouteilles de Naked Grape sauvignon-cabernet du magasin. J'avoue avoir agit d'une manière totalement égoïste, mea culpa (mais ça en vaut la peine).

Une surprise nous attendait à notre retour. Le camping sur le bord de la rivière est plein. Plein comme dans plein. Des groupes de kayakeux, de rugby, d'adultes avec beaucoup d'enfants, de jeunes, de moins jeunes, de ti-vieux. Pense pas qu'on va entendre le vent nous chanter une berceuse, ce soir.


Samedi, 22 novembre 2014

Petite montée de lait: Faire une promenade à 1h30 du matin en parlant fort, ça se fait pas en camping. À moins de faire du camping sauvage. Mais la nuit dernière, le sauvage, c'était pas le camping.

Les Buccaneers de Boca Raton


Journée très venteuse, nuageuse, pas de précipitation de prévue. Une queue de tornades, qu'ils ont dit. Toute une queue, les amis, elle va durer 3 jours.
Ça ne nous empêche pas d'aller rouler dans les pistes dites cyclables. Et il y en a beaucoup ici.

Georges Reeves, le 1er Superman

Le carreauté était à la mode dans les années 1950 (remarquez les culottes du monsieur)




Souper de bonne heure et vers 19h00, une lumière de spot éclaire avec insistance Max et se déplace jusque dans la fenêtre de la porte. SURPRISE, c'est Sylvie et Pierrôt qui sont arrivés 2 jours plus tôt que prévu. Entrez, entrez, on a un p'tit rosé pas piqué des vers.

Dimanche, 23 novembre 2014

Ah! Comme le vent a venté... Heureusement, nous avions fermé l'auvent. Ce matin, le camping a l'air d'une zone sinistrée. Non seulement il a venté à écorné une licorne, mais le ciel a pleuré des larmes de crocodiles, grosses comme des petit pois LeSieur #1. Nombre de tentes écrasées et d'abri démembrés. Pas besoin de vous dire que les sites se sont vidés de bonne heure.

squelette de ce qui fut un abri 10'x10'


En début PM, nous pédalons jusqu'au site 28, où sont stationnés S&P. Mais ils sont pas là. Tant pis pour eux. On y mange notre collation et repartons après avoir joué au jeu des 5 erreurs (on a déplacé 5 objets sur leur site .. hihi).

Mais où est le Pierrôt?


Nous retournons au River Store pour nous informer sur le tour de ponton. Courriel à S&P, nous nous reverrons demain à 9h00 pour le tour.


Non mais, y'as-tu venté à votre goût?




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