19 au 25 janvier 2020 – La vie est belle.

Totalement remise.

Quelques sorties et belles rencontres cette semaine.

La coexistence pacifique

Oubliez Alligator Alley (ou la 75, pour les amateurs de chiffres) si vous voulez voir des Alligatoridés.

Le King de la place.

Sur la Tamiami Trail (ou la 41, j’essaie d’être bilingue), à une centaine de kilomètres du camping, se trouve le Big Cypress Oasis Visitor Center. 

Il est où, le propriétaire du chapeau???

Ce que j’aime de ce parcours, c’est bien sûr le paysage, mais aussi le nombre d’alligators et d’oiseaux qu’on peut y voir tout le long de la route parcourue.

Lisette, Daniel et Sky (ou Toutoune) qui n'ont pas pu nous accompagner au club.

Tom, Jean-Pierre, Doreen, Céline et André

Quoi de mieux pour finir une belle journée qu’un repas entres amis et un bon rock band? Nous sommes au Glades Club, un endroit qui ne paie pas de mine lorsqu’on y arrive, j’en rajoute en disant que ça a plutôt l’air louche comme place. Mais la bouffe y est bonne, malgré un choix limité, et le groupe invité cette semaine est The Deal. 

The Deal, rock des années 70, 80.

Ce fut effectivement un bon deal et nous avons eu grand plaisir à les écouter et danser au son de leur musique. Au sujet du Glades Club, une rumeur circule à l’effet que ce serait un bar de motard. Nous n’y avons pourtant jamais vu de ‘patch’ d’aucune sorte.

Helen, Frenchie, Tom et moi sommes de la partie.

Chaque année, à Dania Beach, se déroule le Vintage Bike Show. C’est, comme son nom l’indique, une exposition de vieux modèles de motocyclettes, certains remontant même à la 2è Grande Guerre.

Et elle fonctionne encore...

Une Harley électrique.

Un 'fait maison'

 

De nombreux kiosques offrent linge, bijoux, pièces de motos, bouffe. Il y a même une partie marché aux puces. 

Il y a de tout pour tous

L’entrée y est gratuite, ce qui attire bien du monde. Et un très bon groupe s’y produit, The Whipping Post. Pour ma part, ce qui me pousse à parcourir 126 miles aller-retour est bien plus que les motos. Chaque année, j’y retrouve une amie de longue date, Line, qui s’est expatriée par amour et est restée pour le climat.

Line et moi pour notre traditionnelle photo.